Martin Le Chevallier est un artiste qui délaisse de plus en plus la création d’objets et les expositions. Son intérêt critique pour les idéologies et les mythes contemporains le pousse à travailler de plus en plus dehors, en prise avec la réalité et l’espace public. Inspiré par les mobiliers qui s’adressent aux passants il propose à Besançon deux œuvres contextuelles ambiguës : imaginées en miroir de dispositifs présentés au public comme une source d’information mais bel et bien vendus également pour surveiller, analyser et canaliser.
Une autre oeuvre est également visible à la Citadelle de Besançon, pendant tout le festival.