Martin Le Chevallier est un artiste qui délaisse de plus en plus la création d’objets et les expositions. Son intérêt critique pour les idéologies et les mythes contemporains le pousse à travailler de plus en plus dehors, en prise avec la réalité et l’espace public. Inspiré par les mobiliers qui s’adressent aux passants il propose à Besançon deux œuvres contextuelles ambiguës : imaginées en miroir de dispositifs présentés au public comme une source d’information mais bel et bien vendus également pour surveiller, analyser et canaliser.
Une autre oeuvre est également visible place du 8 septembre, pendant tout le festival.